Ne pas juger ceux qui n’ont pas eu la possibilité d’avoir accès à des connaissances, mais accompagner avec bienveillance les humains qui demandent de l’aide.

Ne pas s’estimer supérieur aux autres, mais offrir ce qu’on pense être le mieux pour les chiens et humains, avec nos connaissances actuelles, et sans cesse chercher à s’améliorer, se mettre à jour.

Ne pas être parfait, ne pas demander aux humains et aux chiens de l’être, mais accepter ce que nous sommes. Ne pas nier les émotions, mais apprendre à les observer, les comprendre, les accepter et enfin les gérer.

Ne pas proposer à chaque famille (chiens + humains + autres animaux) le même protocole ou les mêmes objectifs, mais s’adapter aux besoins, aux capacités, à l’environnement, aux individus.

Ne pas être toujours sérieux, dur, intransigeant, mais apprécier des instants simples, rire et sourire, faire des bêtises intelligemment, aimer la vie avec son chien, aimer le métier d’éducateur ou le fait d’être un humain de chien, aimer les rencontres que ça nous offre.

Ne pas exposer toujours que les difficultés canines ou humaines, mais les décrire tout autant que les forces, positiver tout en ayant conscience des choses à faire évoluer.

Voilà ce que je vous propose aujourd’hui, voilà ce à quoi j’essaie de me tenir chaque jour (Parfois j’échoue, j’ai envie de critiquer, je vois tout en négatif. Les rares fois où ça arrive, je ne décharge qu’en rentrant chez moi, dans un cercle privé).